Cas d’urgence : arrestation et placement en centre de rétention
En droit des étrangers, il est fréquent que j’assiste mes clients les week-ends, les jours fériés, … En effet une partie de mon métier se fait sur le terrain quand certains étrangers se font interpeller pour les défendre devant le juge des libertés ou le tribunal administratif en urgence.
Vous pouvez compter sur ma disponibilité, car on ne peut faire le métier d’avocat et pratiquer le droit des étrangers qu’avec passion.
En cas d’urgence contactez moi PAR TELEPHONE (04 94 24 29 05) et faites savoir à mes assistantes l’urgence qui vous préoccupe. Préparez alors le maximum d’éléments pour que nous puissions prendre ensemble la meilleure décision.
En effet, dans ce cas, il faut agir vite, vous lirez cela ici. Le droit des étrangers est une matière complexe et truffée de délais exceptionnels. Par exemple pour les obligations de quitter le territoire sans délai, un délai de 48heures est imparti, non suspendu par les week end et les jours fériés pour saisir le tribunal administratif… Dans les refus classiques, ce délai est de 30 jours… Vous l’aurez compris, il faut agir vite !
En cas d’arrestation d’un étranger sans papiers, je peux vous défendre devant le tribunal administratif (voir ici); mais aussi devant le juge des libertés et de la détention (lire ici) qui peut vous libérer sous certaines conditions ou vous délivrer une assignation à résidence qui vous permettra de retrouver la liberté (que j’explique sur cette page).
Toutefois, après votre libération du centre de rétention, il faudra quand même faire un dossier pour obtenir votre régularisation, ce que j’explique dans cet article.
Enfin j’explique comment attaquer une OQTF (lire ici et là).